Quand Broderick devient... 007 [R.]

Ça peut parfois faire mal je vous l'accorde. De temps en temps lorsque sa télévision était devenue inutilisable, et lorsqu'il n'avait rien à faire, son plus grand passe temps était d'espionner Jalynn. Salles de cours, cafétéria, même en dehors du lycée il pouvait la suivre. Roy voulait savoir la vérité, si elle voyait d'autre gars en dehors, au pire si elle était déjà casée. Ce jour là, sa journée était comme celles des autres jours, ennuyeuse, bien que ses cours d'espagnol le passionne énormément il voulait un peu changer d'air. Sa période d'abstinence ayant déjà durer plus d'une semaine il fallait donc trouver une proie. Facile à dire, dur à trouver. Il passa la journée à se confectionner un matériel de haute technologie dans sa superbe chambre close, avec un carton et du papier de verre. Hop hop hop, en deux temps trois mouvement le voilà équiper d'une paire de lunette infrarouge, et de talki-walki 7800 watts avec super antenne parabolique, fonctionnant... à piles imaginaires. Il était tard, et malgré le froid qu'il faisait dans l'enceinte de l'établissement il sortit armé d'un simple t-shirt noir, ainsi que d'un bermuda noir histoire de faire agent James bond 007 crédible. Ses chaussettes noires hyper glissante, il sortit de sa chambre, se retrouva dans le couloir et fit un dérapage à la Niles dans une nounou d'enfer, avec l'air de sa tête qui va avec, style le mec se prenant pour une rock star des années deux milles quarante. La musique de Mission impossible résonnait dans sa tête, il avançait pas à pas vers la lingerie, lieu de prédilection des demoiselles qui changent de sous-vêtements en pleine nuit

« La poule est dans le poulailler, je répète, la poule est dans le poulailler »

Venait-il de dire une fois descendu en bas en apercevant une demoiselle de dos. Il l'espionna un instant... surtout ses belles fesses rondes qui lui donnait bien envie. Puis, dans un élan Tortue ninjatique, il sauta presque sur elle en criant

« KAWABOUMGAAAAAAAAAA »

La nuit venait de tomber, quoi de mieux que de faire sa lessive à la laverie de l'école. Ce lieu était bondé pendant la journée, autant y aller lorsque les gens sont occupés à faire autre chose non ? Jalynn s'activa alors et ramassa tous les vêtements sales qui traînaient dans sa chambre, étant, assez bordélique, autant vous dire qu'il y'en avait partout. Quelques minutes plus tard, elle se faufila dans le couloir, habillé d'un bas de jogging et d'un marcel blanc, sa panière sous le bras, une vraie ménagère qui va au lavoir. La jeune femme ne fut pas surprise de voir l'endroit vide, elle alla donc vers la machine de son choix, toujours la même, celle du milieu et l'ouvrit. Elle posa sa panière par terre et en mit tout dedans. Puis, elle regarda son jogging, il était assez sale, elle regarda autour d'elle, l'enleva et le fourra dans la machine. Elle était à présent en petite culotte, et alors, vous avez bien déjà vu des jambes non ?Elle ferma le hublot et posa ses mains sur ses hanches, fixant la machine.

« Quelle conne. »

Oui, elle s'insulte souvent comme ça, surtout quand elle se rend compte qu'elle a oublié l'argent dans sa chambre. Rebelotte, chemin en arrière. Elle retourna dans sa chambre et prit de la monnaie. A cette heure là, soit les étudiants mangeaient, soit ils travaillaient. Jalynn se faufila donc dans le sombre couloir et arrivée au bout, elle sentit quelqu'un lui sauter dessus alors qu'il était aussi entrain de crier. La jeune femme se baissa.

« AAAAAAAAAAAAAAAAH »

Elle se retourna effrayée et alluma rapidement la lumière, elle se retourna et vit Roy. Ah... Roy... Elle frappa son épaule.

« Je savais déjà que t'étais malade, mais à ce point là, j'étais loin de m'en douter ! »

Sauter sur elle alors qu'elle était entrain de se trimballer en petite culotte dans les couloirs s'était un fantasme. Toucher sa peau comme ça, en se collant à elle de façon à la capturer s'était extraordinaire, très drôle surtout. Il s'y était agrippé, et à présent il n'allait plus la quitter. Jalynn était a seule fille qu'il voulait avoir, non pas dans son lit mais dans son coeur. Quelque part dans lui il était amoureux. Mais il ne va pas retourner dans la renaissance et lui faire la cour comme Lancelot du lac il y a fort longtemps. Ce soir il était seulement Agent Broderick 007, ses lunettes infrarouges posées sur sa tête comme des lunettes de soleils normales, elles tombèrent par terre une fois qu'il lui sauta dessus. Déçu, Roy ne fit plus attention à a demoiselle pendant qu'elle criait de rage contre lui, bien-sûr elle n'allait pas l'embrasser... même s'il était James bond quoi, de toute façon Jalynn est une méchante fille qui mériterait une punition. Roy s'accabla par terre, et se mit a genoux en regardant les lunettes cassées en deux.

« MES LUNETTES INFRAROUGES EXTRATECHNOLOGIE GENRE FIFTY CENT DANS SON CLIP AVEC L'AUTRE TARLOUUUZE »

Il les prit entre ses mains, et les regarda, presque en pleurant avant de les balancer en l'air et de retourner à son occupation principale depuis toujours, Jalynn Douglas. Une frappe en pleine épaule non mais qu'elle aille dans un asile. Le jeune homme arqua un sourcil, puis s'avança vers elle avec un air faussement sérieux.

« Oui je suis malade... je suis fou... FOU DE TOI !!! depuis toujours... QUE DIABLE m'épargne tes paroles... je préfère m'enfuir... NE ME RATTRAPE PAS ! »

Il avança pas à pas... en la regardant avec une main en avant, l'autre derrière. Avant de se laisser tomber par terre et de mimer une scène dramatique. Il avait une belle vue sur ses jambes parfaite.

Ce garçon, mh, comment dire. Un coup elle l'aime, un coup elle le déteste, un coup elle l'adore, un coup elle le hait. Jalynn n'a jamais vraiment su comment agir avec lui. Lui même, un coup il était gentil, adorable, l'autre pervers et horriblement agaçant ! La jeune femme le regarda en fronçant les sourcils. Elle ne s'était même pas demandé qui cela pouvait être, ça ne pouvait être que Roy, un fou comme ça qui saute sur les gens dans l'obscurité, ça ne pouvait être que lui. Il se mit à genoux avec ses lunettes dans ses mains. Enfin, ses " lunettes ", si on pouvait appeler ça comme ça...

« T'es trop pauvre pour t'en acheter des vraies ? »

Dit-elle en regardant les pauvres bouts de cartons partant dans tous les sens. Après lui avoir donner un coup dans l'épaule, il se releva, avec un regard vraiment... bizarre. Il la regardait souvent comme ça, donc vous voyez, elle a l'habitude. Mais qu'il ne s'amuse pas à regarder quelqu'un d'autre comme ça, ça peut vraiment faire peur. Elle croisa ses bras en le fixant elle aussi. Roy se mit soudain à dire des âneries, à dire qu'il était fou d'elle etc. Jalynn leva les yeux au ciel. Elle rit nerveusement lorsqu'elle le vit s'allonger par terre, dramatiquement. Un vrai comédien. Elle se racla la gorge et se mit à genoux devant lui, elle lui prit la main et baissa les yeux. Puis, il reprit son sérieux. Elle avança son visage tout près du sien et leva les yeux vers lui.

« Roy... Je... JE CROIS VRAIMENT QUE T'AS UN SÉRIEUX PROBLÈME ! L'ASILE C'EST PAR LA BAS ! »

Elle lui lacha la main et se releva, elle haussa un sourcil puis sourit ironiquement. Elle soupira puis suivit le long du couloir, elle poussa la porte de la laverie et retourna mettre sa pièce dans sa machine toujours pleine, se doutant bien que Broderick allait la rejoindre sous peu.

Elle était belle. Fabuleuse, attachante, débile, méchante, pas belle, conne, trop la plus belle. Il ne savait même plus quoi penser d'elle... Ses gestes quotidiens lui faisait penser qu'elle devait le détester. Parfois s'est vrai il était lourd, très lourds et les proportions que la situations pouvait prendre étaient parfois dures dures. Il devenait un vrai acteur, il disait des conneries à longueur de minutes et à la fin il redevenait doux comme un agneau. Le jeune homme gardait un oeil sur ses lunettes, il comptait bien les ramasser plus tard pour les planquer dans un coin, mine de rien pour ne pas se faire prendre par les concierges qui nettoyaient les couloirs.

« Han comment t'as deviné? Tu vois s'est pour ça... faut que TU m'aides, tu es la seule personne qui peut m'aider dans ma quette à la James Bond Attitude, et pour ça il faut du fric... de l'oseille, de la tune, TU PIGES !? Pourquoi tu me rejettes... »

Il n'avait pas dit ça sur un ton agressif mais plutôt normal avec une pointe de dramatisme pour qu'elle finisse par le croire un jour. Puis il s'étala, et il regarda le plafond, avec des yeux brillants. Alleluia elle était venue le voir ! Le moment ne dura pas longtemps. Dommage il se rattraperait plus tard. Le problème s'est que pour lui, tout ce qu'il faisait et comment il agissait c'était normal. Il était comme ça partout. En classe, chez lui, dans l'enceinte de l'établissement. C'était plus fort que lui de faire de sa vie une comédie. Mais il ne s'en invente pas une pour autant.

Tu t'en es rendue compte... toi aussi... tu sais faut que j't'avoue quelque chose... Jalynn je suis malade... très malade »

Il regarda à droite, puis a gauche et se leva, devant elle.

« J'ai la maladie... "Elle court... elle court ! LA MALADIE D'AMOUUUUUR" »

Il sourit, puis la laissa partir, elle était bien partie pour l'ignorer toute la soirée. Mais il n'allait pas la lâcher. Roy tapa le pied par terre, descendit tout après elle à l'intérieur de la laverie. Il prit un air différent cette fois ci. Un truc genre le mec de la pub de Levis. Son coeur battait la chamade. Il descendit les petites marches, puis la retourna vers lui en la tenant par le bras. Il la regarda droit dans les yeux, puis il n'hésita pas franchement à l'embrasser en la plaquant contre une des machines à laver qui était en route.

Vous croyez qu'il perd la tête ? Et non. Il est toujours comme ça, toujours toujours toujours. Au début, lorsqu'ils se sont connu, Jalynn a eu un peu peur. De voir ce mec, plutôt mignon il faut bien le dire. Bon, très mignon. Bref, de voir ce mec la fixant, la suivant et lui demandant toute sorte de trucs, plus débiles les unes que les autres. La jeune femme ralentit le pas pour pouvoir entendre ce qu'il racontait encore. Alors comme ça, elle était la seule personne à pouvoir l'aider, non, elle ne croyait pas ça. Il existait aussi des médecins qui pouvaient l'aider, des gens qui pouvaient lui montrer le chemin à suivre pour se comporter enfin normalement. Mais enfin de compte, c'était peut-être comme ça qu'elle l'aimait. Oui, parce que malgré tous ces rejets, elle l'aime quand même beaucoup son Roy. Mais que voulez-vous, elle adore le repousser car en plus, il revient à la charge en force à chaque fois. Elle leva les yeux au ciel et soupira lorsqu'il lui demanda pourquoi elle le rejetait. S'il n'avait pas encore comprit. Alors qu'elle arriva dans la laverie, il l'entendit chanter. Elle ne pu s'empêcher de sourire, il avait vraiment un grain, sérieusement. Jalynn l'entendit arriver derrière elle alors qu'elle regardait sa machine tourner, tourner et encore tourner. Soudain, elle regrettait d'être en petite culotte, elle commençait à avoir froid. Elle sentit Roy qui était entrain de lui tirer le bras.

« Roy, tu ne... »

Avant qu'elle n'eut le temps de finir sa phrase, il était entrain de l'embrasser. Ce fut leur premier baiser, la première fois que Jalynn se laissa faire. Bizarrement, elle ne le repoussa pas. Elle posa sa main sur son torse et prolongea le baiser. Tout d'un coup, elle ouvrit les yeux et le repoussa, elle se dégagea de lui et le contourna. Elle monta sur le banc en bois et dit, debout, en écartant les bras horizontalement.

« NON MAIS TU FAIS QUOI LA ! C'est pas parce que tu veux devenir James Bond que je dois être ta James Bond Girl ! »

Il perdait la tête parce qu'il la regardait. Ses jambes, son corps, elle, il la désirait. Jamais Roy n'a jamais... aimer une fille comme ça. D'habitude il s'en fou de l'amour, il ne pense pas à sa toute la journée. Mais cette fille là il pense à elle chaque jour. Alors qu'il chantait sa chanson française en disant n'importe quoi, il alla la rejoindre dans la laverie et l'embrassa sans hésiter. Elle ne le repoussa pas du premier coup ce qui lui donna encore plus de courage pour poser une main sur sa cuisse et de la rapprocher encore plus de lui. Roh dommage, mais quelle cruche elle avait tout gâché encore une fois erf. Tout ses plans étaient foutus... et puis c'est bon quoi, pourquoi elle se mettait debout sur un banc? Elle voulait jouer au Titanic? Putain Roy était partant ! Titanic, certes c'était le plus laid film du monde que le garçon détestait puisque tout le monde l'aimait, puis avec Jalynn de toute façon ça aurait put rendre le film encore plus beau. Il la regarda et monta sur le banc avec elle, sur sa gauche précisément.

« Tu veux qu'on joue au Titanic toi et moi, han t'es trop tomber sur la bonne personne, je suis le meilleur acteur du monde entier... et depuis tout petit... Je me voyais déjà, en haut de l'afficheuh »

Roy passa une main dans ses cheveux, et fit un pas bizarre à la Michael Jackson, et termina par coller Jalynn contre lui, comme si ils dansaient alors un tango. Il la regarda bien fixement dans les yeux, sans rien dire pendant quelques minutes. Le jeune garçon la fait reculer, elle était à présent à nouveau sur le sol, toujours contre une machine, qui cette fois n'était pas en route. Bizarrement elle se laissait faire, sans rien dire. Il était plus heureux, il avait un léger sourire en coin.

« Jalynn, Jalynn, Jalynn... ah Jalynn, pourquoi es-tu Jalynn? Nan Roméo et Juliette c'est moche j'ai pas envie de jouer à ça, j'ai envie d'être sérieux pour une fois

» Il la tenait toujours par la taille, et il la déposa sur une machine, de manière à ce qu'elle soit assise sur le bord. Il lui écarta les jambes et s'y plaça entre. Il se colla à elle, et avança vers elle de manière à effleurer ses lèvres.

Oui le Titanic, un film avec une histoire d'amour gnangnan, un film à l'eau de rose, un film de filles quoi

. Et sur ce point là, Jalynn suivait toutes les filles de cette Terre, oui, elle aimerait être une fois dans sa vie mademoiselle Dawson qui tombe amoureuse d'un inconnu. Elle le regarda monter sur le banc en face d'elle, et se laissa faire, pour une fois, il fallait qu'il en profite. Elle soutint son regard en disant.

« Oui, tu veux bien être mon Jack ? Je serais ta Rose. »

Elle sourit malicieusement. Il la faisait tellement rire, et chez elle, c'était un bon point. En effet, fille qui rit à moitié dans ton lit vous connaissez ? Et bien c'est tout à fait ça chez elle. Et personne ne la faisait autant rire que Roy. Elle se demdanda ce qu'il fit lorsqu'il la fit descendre du banc, mais comprit bien vite lorsqu'il la porta sur la machine à laver. Elle prit un air malicieux et posa ses fines mains sur ses épaules musclées. Elle le regarda avec interrogation alors qu'il s'approcha d'elle pour l'embrasser, elle serra doucement ses jambrs contre sa taille. Oui, Roy Broderick embrassait divinement bien, qui l'aurait cru, sûrement pas elle. Jalynn se laissa faire et quelques secondes plus tard déposa de légers baisers dans son cou. Elle s'arrêta brusquement et posa ses mains autour de son cou le forcant ainsi à la regarder. Elle planta son regard dans le sien et dit.

« Pourquoi moi Roy ? Alors que tu as des dizaines de filles qui te courent après, t'as juste à claquer des doigts et elles sont à toi, alors que moi... D'accord je l'avoue, je suis plutôt jolie, j'ai de belles jambes et blablabla mais... pourquoi moi ? »

Roy détestait absolument tout les films à l'eau de rose, qui parlent d'amour et de deux personnes qui vivent d'eau et d'eau fraîche avant qu'un évènement spectaculaire ne vienne terroriser le film entier, dont l'amour des deux personnes. Mais si Roy et Jalynn auraient, eux, joués dans le film il aurait était encore "mieux" qu'il ne l'est déjà. N'empêche il ressemble un peu à l'acteur du film. De toute façon, Roy est le plus beau et le plus intelligent de tout les acteurs et personne ne pourra le détrôner même pas Johny Depp. Une fois monté sur le banc, le jeune homme se mit face à elle. Il était heureux qu'elle voulait enfin qu'ils jouent ensemble faussement dans un film. Il pourrait la tenir par la taille comme dans la scène ou la chanson de Celine Dion retenti je crois. « Haaaaaaaan trop fort, par contre c'est moi qui chante My heart will go on parce que toi tu sais pas chanteeeer euh » Roy lui fit un sourire avant de la prendre par la taille, il commença à entamer la chanson, mais recula finalement pour la faire asseoir sur une des machines, c'était mieux comme ça. Jalynn serra ses jambes pour le faire venir encore près d'elle. Ils étaient tout près l'un de l'autre, ce qui excitait Roy minutes après minutes. Rien qu'a voir son pantalon... Il posa ses mains sur ses cuisses, pour les caresser fermement pendant qu'elle enroulait ses bras autour de son cou. « Mais parce que c'est comme ça... je préfère les filles inaccessibles, les filles comme toi quoi. Et euuuh j'ai jamais dis que tu avais des belles jambes... t'es qu'un boudin »

Oui elle chante mal, et alors ? C'est pas comme si elle voulait faire American Idol ou autre chose... Mais l'entendre chanter my heart will go on, non merci. Elle préférait encore jouer au Titanic dans le silence. Mais pour l'instant, il n'était plus entrain de jouer à ça. Jalynn était sur cette machine à laver vide, alors que la sienne était entrain de tourner. Si elle avait su qu'elle trouverait Roy ici, elle se serait un peu plus apprêtée... Elle avait donc à présent ses jambes autour de sa taille et ses bras autour de son cou. Elle sentit ses mains venir se poser sur ses cuisses, pour une fois qu'elle se donnait à lui comme ça, il avait plutôt intérêt à en profiter, car cela ne se produirait pas tous les jours, ça non. Elle le regarda droit dans les yeux, attendant de voir ce qu'il allait lui répondre. Et au lieu de dire que oui, elle avait de belles jambes, il se contenta de dire qu'elle était...un boudin. Oui, oui vous avez bien entendu, un boudin. Etant très susceptible, ce n'était pas forcement la chose à dire. Jalynn lui mit alors une petite baffe sur la joue droite.

« Tu sais ce qu'il te dis le boudin ! »

Elle le fixa, une nouvelle fois, mais ne pu s'empêcher de l'embrasser, cette fois, c'était elle qui prenait les devants. Ce baiser n'était pas sage, pas sage du tout, elle l'embrassa fougueusement, sans retenue. Elle sentit quelque chose de bizarre, quelque chose se produisit en elle. Elle se détacha de lui et colla son front au sien en disant.

« C'était...mieux que tout. Mieux que l'héro, mieux que la coke, mieux que le space mountain, mieux que le nutella. Mieux que tout. »

» BRODERICK • Little jackie #007
» « Un jouur mon prince viendra, un jour on ... *PAF* Roy ? » PV Broderick
» Parce que je suis quand même venu pour ça (a)