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 Hello Mister Monkey, you're still so fast and funky [Privat Carrington]

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Maggie C. Shepperd
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Maggie C. Shepperd


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MessageSujet: Hello Mister Monkey, you're still so fast and funky [Privat Carrington]   Hello Mister Monkey, you're still so fast and funky [Privat Carrington] EmptyLun 12 Jan - 22:25

Maco, de ses deux prénoms Maggie Coraleen, se trouvait adossée contre le mur dans l’exact emplacement du centre de la porte de son cours d’Arts Plastiques et ne cillait même pas, telle une statue de marbre blanc. Il faut dire que la jeune blonde avait un teint plutôt laiteux, affreusement sujet au coup de soleil, ce qui ajouterait du crédit à cette métamorphose sans doute. Comprenez que de part sa descendance d’une famille de modeste Russe, Maggie n’avait pas en ça récolté les meilleurs attributs pour le soleil battant de Miami. Son corps avaient une musculature fine, qui se serait sans doute prêté parfaitement à ces quelques sports de danse ou de gymnastique, que sais je, si encore elle avait eut un tant soit peu la notion de grâce. En effet, élevée dans les complexes sordides d’une troupe de cirque, la jeune femme avait hérité de l’habileté que l’on trouve à ces trapézistes ou à ces jongleurs, mais non de la grâce distinguée d’une ballerine. Oui, tout son corps allait à l’encontre du canon de beauté recherché dans cet état, et elle, à vrai dire, s’en moquait complètement. Pas qu’elle n’aimait pas plaire, mais plutôt qu’elle trouvait un certain dégoût dans toutes ces Bimbos Sur-gonflées à bloc. Elle avait l’esprit très éclectique en ce qui concernait la beauté de chaque individus, mais elle se faisait catégorique sur le genre biatchs pas fraîches qui puent la moule.
En tout cas, elle se trouvait à présent dans l’emplacement très sélectif que voici. Calculé ou pas, on se refusait bien souvent de lui demander ce pourquoi elle se trouvait pile ici avant chaque cours, et d’ailleurs, la plupart des malheureux qui s’y été laissés tenter avaient vite été décontenancés par la réponse dès plus sèche que celle-ci leurs avait rendu. Il faut dire que Maggie ne connaît pas vraiment la demi mesure, et dans l’absurde des questions encombrantes de ses camarades, elle ne trouvait que méprit à leur donner.
La cloche sonna.
Alors plus que rêveuse, impatiente, la jeune femme, comme toujours lorsqu’il s’agissait de cette matière qu’elle chérissait tant, se trouvait toute heureuse. Enfin, un large sourire barra son visage lorsque les premiers élèves sortirent de la classe. Son regard pétillant croisa celui d’un jeune homme qui s’éloignait et paraissait fort de bonne humeur tout comme elle. Alors, comme oubliant les conséquences de son acte à venir, elle fit claquer sa langue, pur tic qu’elle avait lorsqu’elle se sentait allègre. Pourtant sa joie allait tourner vinaigre, car déjà Jamba sortit la tête de dans son sac de cours, et sauta à terre…
Okay pause. Jamba ?
A cet instant, le lecteur peut être surprit de l’apparition spontanée de cet autre personnage dans le récit, mais ne sera-t-il pas encore plus déconcerté lorsqu’on lui annoncera la véritable nature de cet inconnu ? Certes oui, mais pour le moment, il faut bien vous ménager et vous instruire sur le flou.
Ce dernier donc, n’est pas vraiment le genre papier peint environnant, non. Il est tout autre. D’une taille environnant les 30 centimètres, son petit corps frêle est tout recouvert de longs poils roux et doux. Sa mine coquine et câline, laisse parfois entrevoir deux crocs ridicules qui peuvent s’avérer pourtant redoutables. Une bouille d’ange, agrémenté d’un regard suppliant aura vite fait de vous avoir en temps voulu. Eternel farceur donc, il est d’une part très habile, de l’autre certainement plus intelligent que la moitié des gens de cette ville (Selon l’avis tout personnel de Shepperd cela dit). Vous apprendrez bien vite alors à vous en méfier. Enfin, il n’est pas difficile de comprendre alors que l’individu n’est pas le complexe électronique de la dernière peluche à la mode mais bien le fidèle petit singe de l’étudiante.
Vous atterrissez ? Très bien on reprend à présent…
Jamba donc, se trouvait au sol en proie aux yeux de tous les étudiants. Il avait penché sa petite tête pour regarder premièrement Maggie étonné, puis, finalement il commença sa course, dépassé par l’odeur alléchante des biscuits que tenait une des élèves de première année à l’air un peu sotte plus loin devant. Si il y avait bien une chose qui rendait fou ce petit être, c’était le traditionnel biscuit fourré chocolat que mangeait alors goulûment l’étudiante. Malheur.
En à peine plus de temps qu’il ne fallut pour le dire, MC traversa le couloir, oubliant son sac en coton brodé derrière elle et manquant de faire chuter plusieurs élèves sur son passage éclair. La scène avait quelque chose de drôle vu de l’extérieur certainement oui, mais pour Maggie il ne s’agissait plus d’une partie de plaisir ou d’une de ces douteuses plaisanteries. Elle était vivement inquiète quand au devenir, non pas de son compagnon, mais plutôt de..
Plus loin, le décor qui se plaignait aux yeux des autres se voulait encore plus récréatif. La fille au délice chocolaté se mit à crier alors que l’animal grimpait sur sa tête fumante le paquet de gâteaux à la main, la griffant de ci, de là de ses petites pattes bien propres. Le clown singeresque se mit alors à sauter au plafond, s’accrochant de sa petite force au tuile de métal qui surplombait les têtes de tous.
Maggie courrait, et passant dès lors tout prêt de la victime, elle ne prit même pas la peine de s’excuser. Quoi dont ? Il y avait plus de peur que de mal, et sa du premier coup d’œil que la jeune femme lui avait jeté, en jugeant partiellement d’après son empressement à feindre le malaise à la petite cours qui c’était formé autour d’elle. Son jeu était tout simplement grossier. Quelle piètre actrice sérieux.. Mais enfin, il n’était pas temps de souffler ni même d’épiloguer sur le jeu de cette bécasse. Tout au plus, lâcha t-elle un soupir navré.
Elle suivit des yeux le petit animal, reprenant sa course, déboulant avec souplesse dans le long couloir tachant de ne toucher personne cette fois. Puis elle, s’écria, oh mais, elle avait réellement du mal à être sévère envers son ami, car l’on dénotait un ton d’espièglerie dans sa voix :

« Jamba rend ces gâteaux de suite! Tu sais ce qui t’attends si tu n’obéis pas sale canaille va. »

Malgré elle, Maggie proféra cette menace alors qu’elle s’avait parfaitement que cela ne servirait à rien. Le singe lui adressa un clin d’œil, tel l’être non humain doué d’une intelligence suprême et disparue par la trappe qui menait au haut... Elle se figea à un mètre de l’endroit où c’était trouvé précédemment le coquin.
Comble du malheur, fallait il vraiment passer par les toits pour reprendre ce garnement ? Maco s’avait elle aussi feindre le désespoir, en réalité elle jouissait du désir suprême de déambuler avec une bonne raison sur les toits de l’établissement. C’était vraiment excitant. Seul problème comment y accéder ? Elle était bien trop petite du haut de ses 157 centimètres (oui, extrêmement petite même..). Il eut fallut qu’elle fut ainsi bâtie, qu’aurait elle donné pour être à l’instant un gaillard de 1m80.
Frappée d’une idée nouvelle, elle interpella le premier personnage de haute taille qui se présenta à elle.

« Eh toi là, tu m’aiderais pas à grimper là haut par hasard ? »

Elle ne lui adressa aucun sourire, mais l’incendiait de son regard azur (Doux antagonismes oui..).
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Alex Carrington
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MessageSujet: Re: Hello Mister Monkey, you're still so fast and funky [Privat Carrington]   Hello Mister Monkey, you're still so fast and funky [Privat Carrington] EmptyMer 14 Jan - 21:40

Il y a toujours quelque chose à faire dans cette fichue école. Quand vous n’êtes pas en train d’étudier, vous êtes en train de danser, de jouer, de fumer, de vous amuser, et même pire, de faire le plus de conneries qui vous passent par la tête. S’il y en a un qui répond à toute cette description, sauf le côté études, c’est bien le jeune Carrington. Entre nous, qui ne connait pas ce taré au visage délirant, et à la moue si irrésistible ? Vous ? Sacrilège… Vous voyez le garçon vêtu d’une salopette qui n’est même pas mise correctement, puisque sa salopette lui sert de pantalon avec des sangles qui pendent ? Oui ce garçon aux cheveux bruns en bataille, coiffés comme un déluré, qui porte également un piercing sur l’oreille gauche. Eh bien, ce garçon là, c’est Alex. Alexander Conor Carrington pour être plus précise. Ce garçon peut être votre pire cauchemar, comme votre plus grand ami. Ca des amis, il en a, et un paquet, et pourtant, ils vous diront tous la même chose : ce type craint. Il fait tout de travers, il n’a pas froid aux yeux. Idiot à ses heures, il sait également être intello pour se faire bien voir. Un acteur en lui-même.

Qu’en est-il d’aujourd’hui ? Qu’a-t-il fait de si intéressant ? Pour ainsi dire pas grand-chose. Il a exhibé le peu de muscles qu’il avait en cours de sport, où il s’est fait jeter puisque ce n’était pas son heure de cours. Attention, il n’était pas débile au point d’ignorer son emploi du temps qu’il n’avait qu’à lire, il aimait se rendre intéressant. Peut-être à cause d’un manque affectif ? Ses parents dans tout ça ?! N’étant pas le premier, ni le dernier de sa famille, ses parents avaient d’autres chats à fouetter. Oui en clair, ils ne s’étaient jamais vraiment occupé de leur progéniture, qu’ils pensaient tous attardée. Il avait toujours eu des difficultés à l’école, mais n’était-ce pas un jeu pour lui que de jouer le débile ? Il en était trois fois plus apprécié. Enfin bref, revenons à nos moutons, plus précisément à Alex, qui avait visiblement trouvé un passe-temps en ce jour, qui était de rentrer dans les toilettes des filles, feignant de ne pas savoir que c’était les toilettes des filles, et pas ceux des garçons. Autant vous dire, que des cris avaient bel et bien retentit et pas des moindres, des cris plutôt stridents, désagréables à l’oreille. Puis quand celles-ci criaient trop, et que ça devenait insupportable pour ses petites oreilles, il les faisait taire, à sa manière. Pas la peine de décrire sa manière de le faire, je pense que vous l’aurez bien compris. Mais voilà à force d’ennuyer les filles, elles vous le rendent bien. Et vous finissez poussé à l’extérieur des toilettes, un sourire béat aux lèvres, comme amusé de votre propre connerie. Du coup, il continua son expédition dans le couloir, sortant de sa poche un paquet de chips entamé, et à grosses poignées, il enfournait les chips dans sa bouche, comme un gros dégueulasse, qu’il appellerait : américain.

Mais voilà quelque chose sembla attirer son regard, il se tramait des choses pas normales ici, dans ce couloir, qu’il connaissait très bien, puisque c’était le couloir d’arts plastiques, qui lui remémorait, qu’il devait finir son devoir d’arts plastiques. Mais il ne pouvait pas le finir aujourd’hui, puisqu’il avait décidé de se prendre pour une statue nue (bon okay, avec un caleçon blanc) que les autres pourraient peindre. Oui, il avait de drôles d’idées, Alexander Conor. Revenons à cette chose intrigante…Une bestiole, qui sautillait dans tous les sens, euh…vous êtes surs que vous rêvez pas là ? Non, non, il s’agit évidemment d’une bestiole énergique, qu’Alex eut le temps d’apercevoir. Un singe. On se croirait au cirque… Il se mit à rire bêtement, observant les faits et gestes du petit animal, reconnaissant en lui un de ses compatriotes…Car question singerie, le jeune anglais était plutôt incollable. Ce n’est qu’après qu’il remarqua qu’une jeune femme courait après ce singe. Elle était tout aussi étrange que la bestiole d’ailleurs… Et alors qu’elle venait de le dépasser, elle l’interpela, faisant volte face. Il se retourna sans trop chercher à comprendre, l’air de demander : c’est à moi que tu parles ? Il la regarda d’un air indifférent, et il s’approcha d’elle, en dessinant petit à petit sur ses lèvres, un joli sourire mesquin. Il répondit à sa demande d’une manière qui lui était propre, par une question :


« Et qu’est ce que j’y gagnes dans l’affaire ? »

Il n’allait pas non plus se laisser faire par une jeune demoiselle, qui semblait vouloir exiger, et ne pas vouloir demander. Il n’en avait que faire que son regard le foudroie, après tout, il y en avait beaucoup des grands gaillards… Il n’était pas obligé de l’aider. Et puis vous connaissez Alex, il aime les deals, il adore avoir quelque chose en retour, mais faudrait d’abord que ça lui convienne…


[Désolée c'est pas aussi bien que toi! Hello Mister Monkey, you're still so fast and funky [Privat Carrington] 916192 ]
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Maggie C. Shepperd
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MessageSujet: Re: Hello Mister Monkey, you're still so fast and funky [Privat Carrington]   Hello Mister Monkey, you're still so fast and funky [Privat Carrington] EmptyJeu 15 Jan - 17:58

[Mais si, ton Alex est parfait heart]

« Et qu’est ce que j’y gagnes dans l’affaire ? »

Gagner quelque chose ici ? C’est bien la première fois que Maggie était confronté à ce genre de mec. Puisse t-il exister un être plus profiteur que celui-ci dans cette ville ? Sans doute, non, elle était tombée sur le gros lot de la tombola vous voyez.. Enfin, vous avouerez aussi qu’il était bien rare de trouver des gens qui ne veuillent pas rendre un service sans tirer un quelconque avantage de leurs actions. Bizarre. Mais, quoiqu’à première vu cette semi question l’avait proprement dégoûté sur le personnage, tous ce qui paraissait de près ou de loin bizarre trouvait finalement à ses yeux un semblant d’intérêt. La preuve, ce comportement l’avait fait réagir et presque détournée de sa léthargie habituelle.
Maggie lui adressa au final un grand sourire, peu être un peu hypocrite lorsqu’on la connaissait vraiment. Enfin, ce type semblait plutôt intéressant. Elle prit d’ailleurs la peine de lui répondre avec entrain, un soupçon d’ironie dans la voix :

« Un allé simple pour le paradis mec, ça te dis pas ? Genre Dieu est TROP généreux ces temps ci, c’est fou. Et.. Et il peut même t’offrir un verre, mais seulement après ta BA de la journée bien entendu. »

Elle le regarda avec une moue suppliante, qui était plus pour le jeu que pour dévoiler une supposée nature de cocker dévoué. « Sérieux, si je récupère pas Jamba je suis fout... » Lâcha t-elle finalement avant d’être interrompu soudainement par un cris.. Pas encore suffisamment strident pour qu’elle s’en inquiète.

« Eh ! C’est toi la fille au macaque ? Qu’est ce qui te prend de laisser traîner ta sale bête dans les couloirs ? Sale petite catin va, tu me dois un coiffeur, tu le sais ça ? Mes cheveux son foutus bordel ! Tu dois pas savoir combien de temps ça prend pour avoir un résultat comme ça, 3 heures de brushing au moins et je t’épargne le reste.. »

Le regard de Maco se figea sur l’individu. Elle la regarda atterrée. Jamba n’était pas une sale bête Bon Dieu ! Cette petite garce allait regretter longtemps la seule seconde qui lui avait fait proférer cette ignominie au sujet de son ami. Prend garde, quand la maîtresse se réveille, il n’y a pas que ta coupe qui va être foutue ma petite. Ces deux jolis yeux bleu cobalt se changèrent instantanément en véritable iceberg meurtrier.

« Ouais c’est ça, épargne moi plutôt la vision de ta cellule atrophiée et lamentablement geignarde. »

« Quoi ? Géniale ? »

Ahah, on ne refera pas la réputation de cette cruche. Sérieux, Maggie lui aurait volontiers destitué le premier prix de dame autruche pour qu’elle courre cacher sa vilaine face. Bouh. Sans modération cette fois, la bataille reprit, avec l’entré en matière de MC.


« Geignarde, G-E-I-G-N-A-R-D-E. Nan mais quelle gourde celle là ! »


« Hein ? Tu oses me traiter de gourde ? Nan mais vous l’avez entendu tous, cette salope m’a traitée de.. »

« Ferme la princesse. »

« Non, toi fermes la et écoutes ! »

« On t’a déjà trop entendu tu sais.. »

« La ferme putin ! … Et toi, pourquoi tu me regardes comme ça ? T’as un problème ? T’es avec elle, c’est ça ? Dans ce cas, je te conseille d’aller te faire foutre. »

La fille venait d’hésiter. Elle devait sans doute ce dire que le type auquel elle s’adressait était un minet qui se plierait à ces demandes. Et bien apparemment non puisqu’il s’agissait du gas très direct auquel Maggie s’était adressé un peu plus tôt. On avouera que Shepperd avait un peu oublié son grand gaillard durant l’altercation avec la petite dinde chevelue et décérébrée. Mai, aussitôt qu’elle se fut retournée, elle le vit et ne pu s’empêcher d’afficher un sourire amusé, témoignant du fait qu’elle était persuadé que le jeune homme allait remettre cette gourde dans ses buts. Illico Presto. Elle se mit à rire silencieusement, elle commençait à apprécier ce mec carrément franc et finalement marrant ouais..
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Alex Carrington
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MessageSujet: Re: Hello Mister Monkey, you're still so fast and funky [Privat Carrington]   Hello Mister Monkey, you're still so fast and funky [Privat Carrington] EmptyJeu 15 Jan - 18:29

Alex ne se faisait jamais rouler deux fois. Une fois, il avait fait une bonne action, pour aider une jeune femme, et du coup quand il avait pensé qu’il aurait quelque chose en retour, elle l’avait envoyé sur les roses. Bah voyons ! C’était pour ça, qu’à chaque fois qu’on lui demandait un service, si on n’était pas un de ses amis, qui avaient sa confiance totale, ou si on ne s’appelait pas June May, il exigeait texto quelque chose en retour. A tort ou à raison, mais en tout cas, il ne se laissait plus berner facilement. Car c’était tout sauf difficile de le berner, lui qui était d’un stupide… Il était manipulateur, il avait de superbes idées pour faire des conneries, mais son cerveau, il ne s’en servait que pour ça. Ah la mauvaise éducation, et l’oubli de ses parents. D’ailleurs, ils n’avaient jamais téléphoné, depuis qu’il était ici. S’il avait besoin de quelque chose, il se débrouillait. C’était pour ça qu’il avait promis, que s’il retournait dans son pays natal, il n’irait même pas saluer ses géniteurs. Revenons à nos moutons je vous prie, entre temps, la jeune femme dont il ignorait le nom avait répondu. Et quelle réponse ! Allez savoir si c’était de l’ironie ou non, de toute manière c’était trop pour le jeune Carrington qui a moitié en train de rire, levant la main lui faisant signe de s’arrêter, il reprit :

« Attends, attends, pas si vite, j’ai pas l’impression que toi et moi on se soit bien compris ! Qu’est ce que dieu vient faire ici ? Laisse-le où il est, je te demande juste que tu me proposes un marché équitable, rien de plus. Et tant que je suis pas d’accord, je t’aide pas à rattraper ton stupide singe. »

Elle semblait pourtant désespérée, mais il en fallait plus pour adoucir ce grand gaillard. Il avait même un nom ce singe. Quelle fille étrange ! Jamba elle l’avait appelé. Alexander Conor allait répliquer quelque chose, pour lui répéter qu’il fallait qu’il y est un marché, oui parce qu’il était également incroyablement lourd, mais une fille l’en empêcha en rappliquant, et en hurlant tout ce qu’elle savait, ce qui d’un côté fit rire le jeune homme un instant, mais quelques secondes plus tard, il trouvait cela pathétique que ça se transforme presque en bagarre de donzelles. Ca prenait des proportions telles, qu’il soupira de dépit, levant les yeux au ciel, et il en profita pour allumer une cigarette, bien qu’il n’ait pas le droit dans l’établissement. Entre deux bouffées, il se plut à contempler la dératée aux cheveux abîmés, comme si c’était un animal de foire. Dans l’histoire, c’était elle le singe. D’ailleurs elle lui fit lamentablement remarquer, ce qui l’amusa encore plus, et jetant sa cigarette dans un coin, alors qu’elle n’était entamée qu’à la moitié, il lui souffla dans la figure, et lui montra à qui elle avait affaire :


« Une chose est sure, c’est que si j’ai besoin d’aller me faire foutre je viendrais pas te voir. Ecrases pimbêche, tu vois pas que t’es ridicule là ! Tout le monde te regarde, mais pas parce que t’es intéressante ! Ils ont qu’une envie, c’est rire ! Et j'ai bien envie de leur faire ce plaisir… »

Il s’approcha de la jeune femme à la coiffure de tarée, et doucement, il commença à la décoiffer encore plus, puis il ramassa sa cigarette qui était non loin de lui, et il tapota la cendre dans les cheveux de la demoiselle, enfin, il passa la main violemment dans ses cheveux, et elle ne ressemblait visiblement plus à rien.

« Là tu ressembles un peu plus à ce que tu rêves d’être. Maintenant pleures, là y a de quoi ! Et la prochaine fois, apprends à jouer la comédie, t’es mauvaise.»

Il semblait même plus se soucier de son sort, elle pouvait pleurer, même le frapper, il en avait rien à faire. Peu de temps avant, la jeune fille au singe lui avait lancé un sourire. Il avait probablement oublié pourquoi il était là, et pourtant, il prit Maggie par la main, et il ne lui dit rien, avant de la mener par un petit escalier, qui menait directement au toit. Une fois en haut, il ajouta en riant, moqueur:

« Y’avait qu’à prendre l’escalier. »
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